mardi 25 octobre 2011

10 choses que vous ne devriez jamais dire à votre boss!!!!!!!


10 choses que vous ne devriez jamais dire à votre boss
Dans la sphère professionnelle, tout le monde a un rôle à jouer. Celui de votre patron est particulièrement difficile : tout en nuances, il doit à la fois être celui qui tend le bâton et la carotte. Une règle d’or cependant, même s’il se montre amical gardez en tête que votre boss n’est pas votre ami ! Voici les dix choses qu’il vaudrait mieux éviter de lui dire…
1/ Moi si j’étais à votre place…
De là où vous vous tenez, les choses semblent évidentes. C’est un peu comme quand, devant votre télé, vous pestez contre les candidats des jeux télévisés qui ne trouvent pas les bonnes réponses alors que vous, tranquillement installée dans votre canapé, oui. La critique est facile, mais mieux vaut la garder pour vous, car c’est au patron d’assumer les responsabilités des décisions prises, et qu’il a, en général, une vision beaucoup plus transversale des problématiques de l’entreprise. « Je trouvais que mon boss prenait souvent des décisions incongrues » explique Karine, graphiste en agence, « Un jour je lui ai fait remarqué. J’aurais mieux fait de me taire : j’ai eu droit à un cours magistral sur les rouages administratifs de ma boîte et j’ai compris que je ne savais pas tellement de quoi je parlais ». Chacun à sa place, il n’y a qu’Iznogoud qui a le droit de vouloir être calife à la place du calife.
2/ Je m’ennuie…
C’est fort possible. Une activité professionnelle connait aussi ses mouvements de creux. Pourtant, ces fluctuations n’ont pas d’impact sur votre salaire, qui repose sur une base fixe. Même si vous vous tournez les pouces, évitez de vous en vanter auprès de votre patron. D’une parce qu’il trouvera forcément un truc à faire auquel vous n’avez pas pensé. De deux, parce qu’il n’a tout simplement pas besoin de le savoir, ça vous laisse le temps d’aller faire un tour sur Yahoo pour Elles !
3/ Une autre fois, là j’ai pas le temps.
« Le jour où j’ai dit ça à mon boss, il est tranquillement retourné dans son bureau avant de m’appeler» confie Eléonore, assistante d’édition. « J’ai compris que j’avais peut-être été trop loin, dans la mesure où c’est à lui de définir mes priorités au boulot, pas l’inverse ». Le rôle principal de votre patron est de rythmer la valse des tâches qui vous incombent, mieux vaut donc lui laisser la possibilité de décider des urgences : « En fait, il me confiait un dossier important, je me suis montré sèche dans ma réponse uniquement parce que j’étais occupée à faire des photocopies, j’aurais dû d’abord écouter ce qu’il avait à me dire avant de refuser ». Dans le doute, même si vous êtes débordée, évitez un refus trop abrupt. Prenez le dossier en question et donnez vous les prochaines heures pour y voir plus clair. Si vraiment les choses deviennent difficiles, il sera toujours temps d’expliquer à votre patron que vous êtes surchargée et que vous avez besoin d’aide. C’est également son rôle d’être à vos côtés quand il le faut.
4/ Je me demande ce que vous feriez sans moi…
Il a probablement déjà sa petite idée sur le sujet, et la pile de 300 lettres de motivation sur son bureau est là pour le prouver. Personne n’est indispensable (malheureusement), et un patron perd rarement du temps à flatter l’égo d’un salarié un peu trop sûr de lui. Restez humble.
5/ Hihihi… J’avais menti sur mon CV !
La loi du 31 décembre 1992, autorise l’employeur à vérifier les informations présentes sur votre CV. Pas de panique, vous ne risquez pas la prison pour avoir écrit que vous parliez couramment le chinois. A moins de mentir sur des choses pouvant s’avérer dangereuses, comme dire que vous êtes médecin alors que vous avez simplement joué à Docteur Maboule quand vous étiez enfant, vous n’encourrez pas de poursuites judiciaires. En revanche, vous vous grillez auprès de votre employeur, et pour peu que vous bossiez dans un secteur où les gens parlent entre eux, autant dire que votre réputation va tomber à l’eau. Tous les petits mensonges ne sont pas bons à dire, même si vous vous sentez à l’aise avec votre patron : ce n’est pas votre ami !
6/ Je vous aime !
Oh bah oui ça arrive, d’après OpinionWay 31% des Français ont rencontré l’amour au bureau. Mais assurez-vous d’abord de recevoir de vrais signaux de la part de votre boss avant de vous lancer. Attention toutefois, larguer un type qu’on trouve lourd c’est normal, mais est-ce que vous vous imaginez continuer à le croiser au boulot tous les jours ? Et pire, que ce soit lui qui puisse décide de vos augmentations et vous fasse payer votre rupture au prix fort ? Pour cela on applique le célèbre adage : No zob in job !
7/ Bah… Je ne sais pas.
« Je ne sais pas » est une réponse qui vous fait passer pour tout, sauf pour une personne professionnelle. Bien sûr, vous ne pouvez pas tout savoir, et bien sûr, c’est toujours mieux de le reconnaître simplement. Mais « je ne sais pas » n’est pas une réponse. Une vraie réponse, au travail, c’est oui ou non, vous évitez de faire perdre du temps à tout le monde.
8/ Franck fait des achats sur internet pendant les heures de bureau !
Ce n’est pas beau de cafter ! Même si vous pensez que cela peut donner une bonne image de vous à votre patron, il se peut que ce dernier n’apprécie pas votre attitude : le sacro-saint esprit d’entreprise veut qu’on joue la solidarité plutôt que de se tirer dans les pattes. Au delà de ça, vous pouvez simplement vexer votre boss, car le message sous-jacent est surtout qu’il ne sait pas manager son équipe.
9/ Cette idée est vraiment mauvaise !
Oui, mais c’est son idée. Evidemment, votre boss prend peut-être une mauvaise décision, mais vous devrez faire preuve de diplomatie pour le dire. « J’ai déjà été maladroite avec ma patronne » explique Tatiana, coiffeuse dans un salon à Paris, « Je trouvais qu’elle s’y prenait mal pour préparer la couleur d’une cliente. Elle m’a remise à ma place, j’ai fini la journée à faire les shampoings ». Car votre boss reste avant tout humain : il se vexe, il boude, il se venge. Ménagez-le !
10/ J’ai fait un rêve érotique à propos de vous !
Ok, l’ambiance est détendue, mais du calme ! Les confidences de ce genre ne sont pas appropriées et pourraient même être mal interprétées. D’ailleurs, profitez-en pour relire le passage du règlement intérieur de l’entreprise concernant le harcèlement sexuel, puis faites un tour du côté des textes de lois : tout salarié ayant procédé à des agissements de harcèlement sexuel est passible de sanctions disciplinaires. En outre, le harcèlement sexuel est un délit puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. Ça fait cher la blague !
Rafaële Réal © Pampa Presse

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